Petit coup de téléphone avec Raphaelle hier.
Et je crois que ça peut vous parler Bastien. Y'a de fortes chances pour que vous soyez dans la même situation qu'elle.
Comme je vous le disais hier, Raphaelle trépigne de vouloir participer à la Résistance. Mais elle est accroché à un élastique bien costaud qui la rappelle vers ces deux réalités : – ça fout la trouille et on ne sait pas trop comment s'y prendre (n'y avec qui) – on a peur de se retrouver à la rue si ça ne marche pas (ou même plus simplement : on ne sait pas comment en vivre le temps du lancement)
Ces questions sont 100% légitimes Bastien. Voilà mon avis sur la question, pour l'avoir vécu une bonne vingtaine de fois.
Oui, ça fout la trouille. Oui c'est difficile (attention difficile ne signifie pas douloureux) Mais c'est le pied.
Un peu comme votre première fois au lit. Ca fout la trouille, on a peur de mal s'y prendre. Mais à un moment il faut y aller.
Personne ne pourra le faire pour vous.
Et il est inutile d'attendre que d'autres vous suivent. Il faut foncer, seul.e, et plus tard votre tribu vous rejoindra. Vous devez d'abord montrez que vous êtes costaud et qu'on peut compter sur vous, même dans les temps difficiles ou les calmes plats.
Et concernant les ressources nécessaires pour survivre pour démarrer, dans 99% du temps c'est un faux débat. 8h de job – 8h de sommeil => il vous reste 8h à vous.
Là dessus, vous êtes capable de choper 4h/jour pour bosser sur votre projet.
Au début, il n'y a pas besoin de plus que ça. Tout ce qu'on vous demande c'est de créer une vitrine pour votre projet et de rassembler une communauté autour de ce que vous voulez construire.
Soit vos premiers clients, soit des gens qui rêveraient de faire ce que vous faîtes.
Ca demande de la discipline (mais ce n'est pas douloureux), c'est vrai. Faut se faire violence pour éviter la télé, facebook, netflix et les bières détentes de l'afterwork.
Ouaip, c'est vrai.
C'est pas évident.
Sinon tout le monde le ferai : tout le monde a envie de bosser pour son projet et retrouver du sens à son travail.
Mais tout le monde n'est pas prêt à payer le prix de cette aventure. Le ticket d'entrée c'est de sortir des routines qui ne contribuent pas à votre projet.
Et le forfait d'engagement à payer tous les mois c'est la solitude de l'action.
Mais y'a pas de raccourci Bastien, croyez moi quand je vous dis que je les ai cherché.
Si vous voulez traverser l'océan, il faut vous entrainer seul, et partir seul.
On vous jetera des fleurs à votre départ et à votre retour.
On vous invitera peut même à des conférences et tout le monde voudra être comme vous.
Mais dans l'entraînement, dans les tempêtes ou les moments d'ennuis, il n'y aura personne d'autres que vous pour vous dire quoi faire et vous botter les fesses.
Ah si.
Moi. Je serai là.
Mais je ne peux pas faire les pompes à votre place.
J'ai pas de GPS pour vous faire vivre l'aventure. Seulement une boussole.
Y'a pas de GPS, ne le cherchez pas trop longtemps.
Vous et votre intuition. C'est tout.
Et je crois que ça peut vous parler Bastien. Y'a de fortes chances pour que vous soyez dans la même situation qu'elle.
Comme je vous le disais hier, Raphaelle trépigne de vouloir participer à la Résistance. Mais elle est accroché à un élastique bien costaud qui la rappelle vers ces deux réalités : – ça fout la trouille et on ne sait pas trop comment s'y prendre (n'y avec qui) – on a peur de se retrouver à la rue si ça ne marche pas (ou même plus simplement : on ne sait pas comment en vivre le temps du lancement)
Ces questions sont 100% légitimes Bastien. Voilà mon avis sur la question, pour l'avoir vécu une bonne vingtaine de fois.
Oui, ça fout la trouille. Oui c'est difficile (attention difficile ne signifie pas douloureux) Mais c'est le pied.
Un peu comme votre première fois au lit. Ca fout la trouille, on a peur de mal s'y prendre. Mais à un moment il faut y aller.
Personne ne pourra le faire pour vous.
Et il est inutile d'attendre que d'autres vous suivent. Il faut foncer, seul.e, et plus tard votre tribu vous rejoindra. Vous devez d'abord montrez que vous êtes costaud et qu'on peut compter sur vous, même dans les temps difficiles ou les calmes plats.
Et concernant les ressources nécessaires pour survivre pour démarrer, dans 99% du temps c'est un faux débat. 8h de job – 8h de sommeil => il vous reste 8h à vous.
Là dessus, vous êtes capable de choper 4h/jour pour bosser sur votre projet.
Au début, il n'y a pas besoin de plus que ça. Tout ce qu'on vous demande c'est de créer une vitrine pour votre projet et de rassembler une communauté autour de ce que vous voulez construire.
Soit vos premiers clients, soit des gens qui rêveraient de faire ce que vous faîtes.
Ca demande de la discipline (mais ce n'est pas douloureux), c'est vrai. Faut se faire violence pour éviter la télé, facebook, netflix et les bières détentes de l'afterwork.
Ouaip, c'est vrai.
C'est pas évident.
Sinon tout le monde le ferai : tout le monde a envie de bosser pour son projet et retrouver du sens à son travail.
Mais tout le monde n'est pas prêt à payer le prix de cette aventure. Le ticket d'entrée c'est de sortir des routines qui ne contribuent pas à votre projet.
Et le forfait d'engagement à payer tous les mois c'est la solitude de l'action.
Mais y'a pas de raccourci Bastien, croyez moi quand je vous dis que je les ai cherché.
Si vous voulez traverser l'océan, il faut vous entrainer seul, et partir seul.
On vous jetera des fleurs à votre départ et à votre retour.
On vous invitera peut même à des conférences et tout le monde voudra être comme vous.
Mais dans l'entraînement, dans les tempêtes ou les moments d'ennuis, il n'y aura personne d'autres que vous pour vous dire quoi faire et vous botter les fesses.
Ah si.
Moi. Je serai là.
Mais je ne peux pas faire les pompes à votre place.
J'ai pas de GPS pour vous faire vivre l'aventure. Seulement une boussole.
Y'a pas de GPS, ne le cherchez pas trop longtemps.
Vous et votre intuition. C'est tout.
Les vivants se meurrent.
C'est à mon sens encore plus triste qu'une magnifique et symbolique cathédrale qui s'enflamme.
Au boulot.
A demain. Maxence
A demain. Maxence
PS: Transférez ce mail à un.e ami.e pour lui faire part de cette astuce/réflexion.
Plus on sera nombreux, plus le monde de demain arrivera vite.
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“Un café par mois contre un dose d’inspiration quotidienne ? – Allez OK !”
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Bastien, ce que vous pouvez tirer de mon appel avec Raphaelle