impossible de trouver un business model rentable dans l’écologie ?

Hier je vous parlais d’Anne Laure et de l’importance de ne pas avoir peur de faire de l’argent.

Sauf que pour de vrai c’est un faux problème.

Ce serai bien de d’abord commencer par en gagner.

Et là, croyez le ou non, mais y’a une formule magique.

Si vous me suivez depuis longtemps, je vous en ai déjà parlé.

Il faut trouver votre foule affamée.

C’est l’une des plus grandes leçons que j’ai appris au cours des 2 dernières années.

Trouver votre foule affamée.

Ca a revolutionner ma manière de voir le marketing.

Parce qu’en fait le secret, c’est ça.

Si vous voulez vendre, trouvez ceux qui sont prêts à tout pour l’acheter.

Dans le monde des start-ups, on appelle ça le “product-market fit”.

La rencontre entre le produit et le marché.

Avant ce point critique, votre projet n’est qu’une idée sympa.

Une tape sur l’épaule ou des encouragements.

Après ce point, vous avez un embryon viable.

Ca ne garantit pas votre succès, mais c’est une condition nécessaire.

C’est un petit peu la différence qu’il y a entre l’art et l’entrepreneuriat.

L’artiste produit, adore ce qu’il fait et s’expose en attendant que des passants tombent amoureux de ses oeuvres.

Mauvaise tactique pour 99% des gens.

(vous êtes 99% des gens Bastien)

L’entrepreneur lui, a une idée assez floue.

Alors il va voir ce que les gens font.

Qui achète quoi et pourquoi ?

Quels sont leurs problèmes, leurs frustrations, leurs envies, leurs rêves ?

Et à partir de là il commence à sculpter son idée.

Il la propose aux passants, et ne s’intéresse, dans un premier temps qu’aux retours des Utilisateurs Enthousiastes.

Ce qu’on appelle les “Early Adopters”.

Ceux que vous avez à peine besoin de convaincre.

Ceux qui achètent tout de suite car ils en ont besoin.

(alors que votre produit a encore un bon millier de défaut)

Ils s’en fouttent.

Ils sont affamés.

C’est ceux là que vous cherchez.

Les autres viendront après, ne vous en préoccupez pas.

Vous voyez la différence avec l’art Bastien ?

L’artiste produit et ensuite propose.

L’entrepreneur questionne, recherche inlassablement sa foule affamée, teste, propose et ensuite seulement sculpte.

Et c’est un peu le problème quand vous voulez changer le monde.

On veut changer tout le monde d’un coup.

On veut vendre à tout le monde.

Sensibiliser tout le monde.

Alors qu’en fait, le secret, c’est de soulager une toute petite partie du monde.

Ceux qui en ont le plus besoin.

Puis seulement après de s’élargir.

Je vous laisse méditer là dessus Bastien.

Ca vaut dans tous les domaines.

Il y a des gens, dehors, qui rêveraient de vous voir réussir et proposer vos produits.

Ils ont besoin de vous.

Vous ne les connaissez pas encore.

Vous devez les rencontrer.

Puis les apprivoiser, les écouter.

Et alors ils vous suivront jusqu’au bout du monde.

Et l’argent ne sera plus un problème : même si vous vendez cher.

A vous de jouer.

Utilisez la gratuité pour vous faire connaitre par votre foule affamée.

Mais ne vous laissez pas influencer par les statistiques à la con comme les likes et toutes ces conneries.

Ce qui compte, c’est le bouche à oreille, l’enthousiasme incontrolable.

La foule affamée.

Trouvez la vôtre.

A demain,

Maxence

"Okay chef, tu m’as mis la pêche, t'as gagné ton café aujourd'hui"

(Cliquer sur l’image m’envoie un café)


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