En webmarketing, il y a quelque chose que tout le monde recherche.
La viralité. Faire le buzz.
Ben oui *|FNAME|*, c’est le moyen de faire de l’argent avec le minimum d’investissement.
Vous trouvez une bonne idée et vous en parlez de tel manière à ce que tout le monde ai envie de l’acheter.
Vous imaginez si vos supers promos devenaient virales ?
C’est pas tous les jours qu’il y a des promos à 80% ! Ca devrait le faire non ?
Ou alors ce concept de vidéo informative, avec des belles images et des mots en dessous qu’on regarde sur Facebook. 10 000 vues et 2500 partages, vous devriez bien pouvoir être capable de faire ça non ?
Imaginez si vous aviez ce levier pour votre projet *|FNAME|*…
Connu instantanément en quelques jours, pour des cacahuètes.
Et puis vous *|FNAME|*, votre projet il claque. C’est sûr que ça va marcher.
…..
Hmmmm…. Non.
Mauvais plan.
Et payer des centaines d’euros en pub ne vous aidera pas non plus.
Vous voyez *|FNAME|*, beaucoup de gens ont déshumanisé le oueb.
On voit le buzz comme un phénomène qui émerge dont on ne sait où.
Les vues et les partages sont des statistiques.
C’est normal, quand on voit écrit 2000 partages, on est incapable d’imaginer une à une ces 2000 personnes.
Impossible de les imaginer chacune dans un état émotionnel si fort et si profond, que elles ne peuvent pas faire autrement.
Impossible de sentir, à travers ces chiffres, l’impact qu’on a pour que cette personne, à ce moment précis, prenne le courage d’afficher publiquement ce contenu.
Impossible de comprendre tout le voyage émotionnel qui lui fait prendre ce risque social.
Impossible de saisir pourquoi c’est votre contenu, parmi les centaines qu’elle verra aujourd’hui, qu’elle mettra en avant.
Et a contrario, tout aussi impossible de comprendre pourquoi votre pote vous parlera ce soir d’un article qu’il a vu et adoré, mais qu’il n’a pas pas liker ou partager.
La viralité *|FNAME|*, c’est tout aussi mystérieux que les cours de potion magique dans Harry Potter.
Et si vous voulez mon avis sur la question, je pense que ça ne s’improvise pas.
Il y a tout un tas de techniques à peaufiner.
Des trucs un peu bizarre aussi à vrai dire.
On croit bien faire et en fait on se prend une tôlé monumentale.
Mais cette science émerge, et y’a quelques astuces qui font la différence.
Et elles ont toutes un point commun.
Elles se basent sur la psychologie humaine et l’introspection.
Plus vous serez capables d’analyser pourquoi vous avez partagé ce que vous avez partagé, plus vous serez bons en viralité.
Si j’étais Socrate *|FNAME|*, je vous dirait : “Connais toi toi-même”.
L’empathie l’ami.e.
La viralité, ce ne sont pas des likes ni des partages.
Ce sont des émotions virulentes.
Des pensées enfouies qui émergent.
Des messages aux gens qu’on aime pour se donner une image.
Y’a des fois où on s’en fout de ce que pense les autres.
Y’a d’autres fois où on a besoin d’exister à leur yeux, par notre beauté, notre intelligence, notre humanité, notre intégrité ou même notre réussite.
Y’a pas de mal à ça.
Ca tient plus de la détresse que de l’égocentrisme.
D’ailleurs c’est pour ça que beaucoup ne postent rien mais font juste les voyeurs.
Poster des trucs, c’est un peu une envie d’exhibition.
Donc ne rien poster c’est dire aux autres que moi *|FNAME|*, je n’ai pas besoin de ça pour exister.
Je mets une capote, je suis pas fou.
On résiste à l’envie de partager pour ne pas se dévoiler.
Ce sont tous ces mécanismes qui sont derrière la viralité.
C’est infiniment complexe.
Mais gardez en tête que si vous voulez que votre post soit partagé, il faut que vous l’écrivez en voulant rendre service au lecteur partageur.
Vous ne devez pas parler de vous, votre produit, votre coup de gueule.
Vous devez lui servir sur un plateau d’argent un moyen simple, sans risque, gratifiant, socialement reconnu, de réaliser ce qu’il veut plus que tout au monde.
Etre quelqu’un.
Le partage doit être irrésistible.
Une occasion en or, à ne pas louper, de montrer aux autres ce que l’on veut qu’il pense de nous.
A ne pas le partager en premier, notre image sociale en serait diminuer.
Mettez vous à la place de votre lecteur *|FNAME|*.
Et rendez lui service.
Dîtes tout haut ce qu’il pense tout bas.
Donner lui l’occasion d’être intelligent, drôle, philosophe, expert, cool, tendance, ou philanthrope.
Un bon père, un bon pote, une mère super cool, un cousin malin, un.e chéri.e complice, un camarade perspicace.
Communiquer un message doit être une occasion de flatter le messager.
Au service de votre communauté *|FNAME|*.
Toujours.
A vous de jouer maintenant,
Je vous enverrais des techniques un peu plus pratico-pratiques quand j’en aurai fini d’écrire des mails de 800 mots^^
A demain l’ami.e, prenez soin de vous.
Maxence
*|LIST:DESCRIPTION|*
« Okay chef, t’as gagné ton café aujourd’hui »
(Cliquer sur l’image m’envoie un café) <paypal.me/maxenceresistant>
Capote et potion magique *|FNAME|*.